• Encore et tjrs. Philippe Guillemant, armé de nouveaux croquis.

    Intuitivement, je dirai qu'il s'agit sans aucun doute du nouveau paradigme qui nous  attend... Enfin pour ceux qui l'auront choisi...Une des nouvelles notions très intéressante

    qu'il introduit est celle "d'épaisseur du temps", entre autre. Pourquoi le Tai Chi Chuan est il si lent a votre avis? 

    La chaine youtube de P.Guillemant:    https://www.youtube.com/user/temps2222/videos

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  • Quel place occupe le sacré dans notre vie ?

    Est-ce un bouda acheté bon marché sur l'étagère ou la table du salon ?

    Prière de supplication propre au Buddha médecine Akshobhya.

    mantra of medicinal Buddha

    Ce soir il y a cérémonie  au Jardin d'Hicouri

    un rituel de consécration,

    en effet le mandala est terminé.

    les mantras au dos de l'œuvre sont écrits en Sanskrit au milieux des chants Tibétain de consécration. C'est la nouvelle lune nous somme le quinze du mois.

    Je ne fait qu'obéir dans l'humilité du serviteur.

    Sacré

    C'est ainsi que l'on signe dans l'anonymat  au do du mandala. Quel soulagement!

    Sacré

    Les mantras en Sanskrit avec leur phonétique, toujours au dos, 7 au totale pénètrent l'œuvre.

     

    Sacré

     Dans le Saint des saint.

    མི་བསྐྱོད་པ

    Akshobhya - le bouddha bleu foncé.

    C'est le Bouddha Médecine de la guérison, celui dont le monde d'aujourd'hui a le plus besoin.

    Le bouddha bleu occupe le quartier est du mandala, et sa couleur est bleu foncé, la couleur du ciel de minuit sous les tropiques. Son nom signifie « l'inébranlable », « l'immuable », « l'imperturbable », et son emblème est le vajra. La mudra d'Akshobhya est la bhumisparsa-mudra ou mudra du toucher de la terre.

    Son animal est l'éléphant, le plus grand et le plus fort des animaux terrestres : faire basculer un éléphant n'est pas très facile ! Selon la tradition, l'éléphant est aussi le plus sage des animaux. Akshobhya est le chef de la famille du vajra, qui comprend le bouddha ou bodhisattva Vajrasattva ainsi que de nombreuses divinités courroucées (bouddhas, bodhisattvas, gardiens en forme courroucée), comme Samvara, Heruka, Hevajra et Bhairava. En fait, il y a plus de déités courroucées dans la famille du vajra que dans la famille de tout autre bouddha. Ceci est peut-être dû aux puissantes associations du vajra.

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  • Existe-t-il une intelligence à l’œuvre dans la nature?
     
     
    La nature fait preuve d’une incroyable intelligence pour celui qui sait l’observer.

    Certains biologistes commencent à admettre ouvertement qu’il existe une véritable intelligence à l’œuvre dans la nature.

    En effet, si l’on étudie une bactérie, un champignon, une plante ou tout autre organismes vivants, aussi différents soient-ils; tous semblent posséder un point commun. Celui d’agir avec discernement en s’adaptant à des situations nouvelles. 

    Mais plus curieusement, l’idée qu’il existe une intelligence à l’œuvre dans la nature, est partagée par d’autres scientifiques d’un tout autre domaine. Ainsi, certains astrophysiciens qui cherchent à percer les secrets du cosmos, perçoivent dans l’univers la trace d’une conscience supérieure.

    L’ingéniosité avec laquelle l’univers est agencé conduit à d’inévitables questions qui flirtent avec les frontières de la métaphysique.

    Mais pourquoi des scientifiques, issus de milieux aussi différents, menant des recherches allant de la bactérie à l’immensité de l’univers en arrivent-ils à la même conclusion ? La nature est-elle intelligente ?

    Pourquoi la nature fait elle preuve d’intelligence ?

    Il faut savoir que le terme intelligence a réuni en 1986 une vingtaine d’experts en psychologie pour donner une définition de l’intelligence. Seulement, aucun consensus n’a été trouvé et la définition d’intelligence reste un concept encore mal défini sur le plan scientifique.

    Toutefois, l’une des définitions recevables pour qualifier le terme « intelligence », se résume à la capacité à traiter de l’information pour atteindre des objectifs.

    Or, dans cet article nous allons voir que tous les organismes vivants possèdent un objectif, et vont se comporter de manière réfléchie pour y arriver. Mais, l’univers n’aurait-il pas lui-même un objectif à atteindre ?

    La nature a-t-elle un but ?

    Il y a quelques années de cela, il était encore inconcevable de parler de « l’intelligence des plantes ».

    L’idée d’une intelligence végétale paraissait extravagante, par le simple fait que les végétaux ne possèdent pas de cerveau.

    Mais pour le biologiste Rupert Sheldrake, il est indéniable qu’un organisme vivant, quel qu’il soit, possède un but, un objectif interne qui lui est propre, celui de croitre, survivre et se reproduire.

     

    Or, sous leur apparente simplicité, les mécanismes d’évolution, d’adaptation, ou de défense font preuve d’une telle ingéniosité que l’on peut les qualifier d’intelligences, malgré l’absence d’un organe central.

    Ainsi, les organismes vivants sont en mesure de traiter l’information de leur environnement, et agir en conséquence pour atteindre leurs objectifs.

    Par conséquent, la nature est capable de faire preuve d’une grande ingéniosité pour atteindre ce but, celui de croitre, survivre et se reproduire.

    L’intelligence végétale.

    Notre relation avec le monde végétal est en train d’évoluer. Il est maintenant communément admis, que les végétaux sont dotés de mémoire, sont capable de prendre des décisions, d’apprendre, mais également, de faire preuve de capacités cognitives aussi exceptionnelles que les animaux.

    Si l’on observe correctement la nature, on peut facilement remarquer que les plantes vont adopter les mêmes comportements que le monde animal. Mais elles le feront différemment, sans se déplacer.

    De nombreux laboratoires de recherche au sein d’instituts et d’organismes scientifiques ont mis en évidence que les plantes et les arbres communiquent de diverses manières. Cela peut-être par l’intermédiaire de signaux chimique dans l’air ou dans le sol, ou encore des signaux électriques, des odeurs, etc.…

    Cette communication entre les végétaux a un but bien précis, celui d’alerter d’un danger pour la survie de l’espèce menacée. De plus, il existe plusieurs niveaux de communication associée au fait que les plantes soient de la même espèce ou non. Il en est de même pour les arbres. 

    Quelques exemples d’intelligence végétale dans la nature.

    Le monde végétal est passé maître dans l’art de s’adapter à son environnement. Des records de longévité végétale inspirent du respect aux botanistes. Comme le plus ancien cerisier au monde qui aurait entre 1 800 et 2 000 ans.

    yamataka-jindai-zakura

    Les plus vieux cerisier du monde aurait entre 1 800 et 2 000 ans.

    Le botaniste Stefano Mancuso, pionnier de la neurobiologie végétale et défenseur de la notion d’intelligence des plantes fait part de phénomènes spectaculaires.

    Par exemple, les arbres sont capables de fabriquer du « bois de réaction » en le faisant pousser spécialement face au vent pour consolider leur structure.

    De même, il a été observé qu’en cas de grand vent ou de pression mécanique, une plante émet de l’éthylène qui sera analysé par les plantes voisines. Ce message d’alerte va favoriser un durcissement de leurs tiges même si elles ne sont pas directement impactées. Et il en est de même pour les arbres, qui ont la même faculté d’alerte.

    Par ailleurs, nous avions également abordé un article concernant le son émis par les plantes lorsqu’elles soumises à un stress. En effet, face à un stress environnemental les plantes émettent un ultrason situé entre 20 et 100 kilohertz.

    Quant à la biologiste canadienne Suzanne Simard, elle décrit parfaitement le maillage filamenteux du mycélium, permettant de connecter les arbres d’une forêt les uns aux autres, créant ainsi l’internet des sous-bois.

    Ces comportements sont un parfait exemple de traitement de l’information et d’une réaction en conséquence pour atteindre un objectif, celui de survivre.

     
    L’incroyable capacité de clonage des arbres.

    Faisons une parenthèse sur un phénomène assez spectaculaire concernant la reproduction par clonage.

    Il faut savoir qu’une forêt s’est régénérée depuis quatre-vingt mille ans à partir de pousses du même arbre.

    C’est l’un de plus beaux exemples de clonage. Quarante-sept mille ramifications de clones identiques génétiquement, constituent aujourd’hui sur 43 hectares un organisme exceptionnel.

    Il s’agit donc d’un seul et même individu avec le même patrimoine génétique, on l’appelle PandoC’est l’un des plus vieux êtres vivants sur Terre, mais aussi le plus grand, comme le raconte le garde forestier allemand Peter Wohlleben dans son livre La Vie secrète des arbres.

    pando

    Cette colonie de clone est considérée comme l’organisme vivant le plus lourd et le plus âgé de la planète, avec une masse estimée à 6 000 tonnes, et un âge de 80 000 ans. On l’appelle Pando

    Au final, les végétaux paraissent bien différents de ce qu’ils semblent être. Nous avons pour habitude de les considérer comme de simples objets inertes, mais malgré cette apparente inertie, ils font preuve d’une incroyable ingéniosité pour se reproduire, se nourrir, se défendre ou tout simplement vivre….

    Mais plus troublants encore, nous allons voir qu’un organisme, beaucoup plus simple que les végétaux, est capable de faire des choses tout aussi incroyables.

    L’intelligence unicellulaire.

    Pour continuer notre approche sur cette « intelligence » omniprésente dans la nature, nous allons voir qu’un organisme unicellulaire, comme une bactérie, une levure ou encore un plancton, est capable de faire preuve d’ingéniosité pour s’adapter à son environnement.

    Prenons tout d’abord le cas le plus simple, celui d’un être monocellulaire. Il faut savoir que ces cellules recherchent ce qui leur est favorable, fuient ce qui leur est nocif. En d’autres termes, les créatures monocellulaires possèdent tout simplement ce même objectif, celui de vivre en faisant appel à l’instinct de conservation.

    Cependant, l’adaptation de ces cellules peut prendre une forme plus complexe.

    L’amibe dysentérique, dans un milieu favorable, croît et se reproduit normalement. Cependant, lorsque les conditions deviennent défavorables, par exemple à la suite d’une injection d’émétine, immédiatement l’amibe réagit contre cette agression toxique par le seul procédé qui la maintiendra en vie dans ce milieu hostile.

    Ainsi, l’amibe va se rétracter, ses parois vont s’épaissirent, le protoplasma et le noyau ainsi protégés deviennent imperméables aux toxiques et cessent d’être vulnérables.

    Par conséquent, l’amibe obtient des conditions favorables de survie. Un être intelligent, ayant le choix des moyens, pourrait-il se défendre mieux que ce médiocre protozoaire ?

    Autre manifestation intellectuelle cellulaire.

    L’instinct de survie peut développer d’étonnantes capacités, même chez une simple cellule. En effet, il a été démontré que certains organismes sont capables de s’adapter en faisant appel à leur mémoire.

    Prenons l’exemple d’un bacille lactique, cette bactérie est capable de s’adapter à des toxiques par mémorisation. Plongeons cette bactérie dans le formol dilué, placé pour la première fois dans ces conditions, cela la tuerait immédiatement.

    Réensemençons cinq, dix, vingt fois cette souche de bacilles en milieu strictement normal, c’est-à-dire non formolé, il continuera à garder cette propriété de résistance au toxique indéfiniment. Ainsi, ce microbe a la capacité de se souvenir pour survivre.

     

    Un autre exemple, nous vient des globules blancs chargés de détruire les germes pathogènes. Il faut savoir que les globules blancs présentent la faculté de discernement. Cette cellule est capable de faire la différence entre des bactéries ennemies et un pollen inoffensif. Ainsi, cette cellule analyse une situation et prend une décisions, mais sans être équipée d’un quelconque cerveau.

    De plus, les globules blancs sont capable de communiquer d’une manière assez surprenante. En effet, avant de disparaître, cette cellule envoie un dernier message chimique aux cellules immunitaires. Cet ultime message renferme des informations sur la manière de lutter contre l’infection qui vient de les exterminer. (voir l’article sur l’apoptose)

    Cet exemple, montre que la nature sait faire preuve d’intelligence pour nous préserver.

    D’où vient cette intelligence ?

    Nous avons prouvé, par des exemples multiples, que les cellules et les tissus non spécifiquement intellectuels avaient une certaine mémoire, un certain jugement, la puissance de création.

    Ces facultés sont mises en œuvre, chaque fois qu’il est nécessaire de défendre l’organisme.

    À qui, à quoi pourrait-on attribuer l’intelligence, si nous la refusons à ce qui a mémoire, jugement, pouvoir de création et faculté d’adaptation.

    Quelles hypothèses sont susceptibles d’expliquer la façon dont les êtres animés luttent pour l’existence ? La plus absurde de ces hypothèses est l’intervention du hasard.

    Une force physique peut-elle être à l’origine cette forme d’intelligence omniprésente ? L’association des lois de la pesanteur et de la gravitation a réalisé une incroyable prouesse dans le domaine de la vie astrale en ordonnant le chaos initial.

    Mais une telle force peut-elle créer la vie ? Peut-elle surtout réaliser le maintien et le perfectionnement de cette vie « contre vents et marées ». Nous voulons dire contre les millions de forces qui attaquent chaque minute la plus infime comme la mieux protégée des cellules ?

    Toutefois, cette force primordiale qui pousse chaque créature à se battre pour sa survie, ne se serait-elle pas inscrite dans les lois ingénieuses et inébranlables de l’univers ?

    L’intelligence de la nature à travers l’univers.

    C’est un fait, l’intelligence est omniprésente dans la nature. Cependant, l’univers lui-même ne montre-t-il pas des signes d’intelligence ?

    Si l’on observe un tant soit peu la phase primordiale de l’univers, celui-ci se trouvait dans un état d’extrême simplicité. Par conséquent, toute la richesse et la diversité de la matière et de l’énergie qu’il nous est possible d’étudier aujourd’hui, trouve son origine dans une séquence longue et compliquée de processus physique s’auto organisant.

    creation-univers

    Les lois de la physique ont transformé les gaz issus du Big Bang en des être conscients capable de s’interroger sur l’intelligibilité du monde.  L’univers lui-même n’est-il pas une preuve de l’intelligence de la nature.

    Seulement, cette auto-organisation, nous la devons aux lois de la physique.

    Non seulement les lois de la physique sont à l’origine de la naissance spontanée de l’univers, mais elles sont le point de départ d’un univers qui s’est auto-organisé et auto-complexifié jusqu’à faire naitre des êtres conscients.

    En d’autres termes, comme le souligne Paul Davies dans l’ouvrage science et quête de sens.

     

    « Comment un ensemble de lois peut-il conduire des gaz issus du Big Bang à produire des structures complexes telles que la vie, la conscience, l’intelligence et des activités culturelles telles que l’art, les mathématiques et la science ? »

    Devons-nous attribuer ces résultats à des lois hasardeuses ? Non, il se trouve que des lois sélectionnées de façon hasardeuse mènent inévitablement à un chaos mortel, ou à une simplicité ennuyeuse au sein de laquelle il ne se passe jamais rien.

    Ainsi, les lois qui régissent notre univers encouragent matière et énergie à développer ce que Freeman Dyson appelle « le principe de diversité maximale ». En d’autres termes, nous vivons dans l’univers le plus intéressant possible.

    Pourquoi ces lois sont-elles si bien réglées ?

    L’univers est beaucoup plus complexe et cohérent que ce que tous les hommes sciences ont pu s’imaginer.

    En effet, les paramètres de base du cosmos possèdent la valeur précise qui permet à des structures complexes de voir le jour. Si l’univers était un tant soit peu moins syntonisé, nous ne serions pas là pour remettre en cause les raisons de cette précision.

    Pour citer encore une fois Freemen Dyson, « c’est presque comme si l’univers savait que nous allions venir ».

    La grande variété de théories cosmologiques avancées de nos jours indique, d’un côté, qu’il n’existe pas de consensus définitif en ce qui concerne la naissance et l’évolution de notre univers. Toutefois, l’hypothèse d’une cosmologie cyclique semble avoir du sens.

    En effet, selon cette théorie, l’univers dans lequel nous évoluons ne serait ainsi pas le premier, ni le dernier. La minutie étonnante des lois physiques et des constantes de notre univers laisse entendre que ce dernier, à sa naissance, a vraisemblablement été relié à des univers antécédents.

    Par conséquent, notre univers étonnamment cohérent proviendrait des vestiges d’univers antécédents. Ainsi, à chaque cycle, l’univers aurait ajusté ses réglages, pour parvenir jusqu’à celui dans lequel nous évoluons. Mais dans quel but ?

    Quel est le but de l’univers ?

    Il faut savoir que la science se cantonne à expliquer le comment, en revanche elle ne s’occupe pas du pourquoi. Le pourquoi est réservé à la philosophie, aux religions, à la métaphysique. La science nous dit d’où vient le fait que l’univers est grand, mais elle ne nous dit pas pourquoi.

    La science ne s’intéresse pas aux causes finales. Cependant, elle est arrivée à un tel niveau de précision et de complexité qu’elle entretient des liens étroits avec l’irrationnel.

    À l’image du panpsychisme, qui considère la conscience comme une caractéristique fondamentale de la matière et omniprésente de l’univers.

    Mais si c’était cela le but de l’univers, héberger la conscience, héberger cette force qui anime tous les êtres vivants. Cette lueur d’intelligence qui pousse tous les organismes à atteindre leur but ultime, celui de survivre.

    Finalement, le plus grand défi de l’existence, ne serait-il pas de développer une intelligence suffisamment développé, pour permettre aux êtres vivants de survivre au prochain Big crunch ?

    Sources: Les végétaux doués d’intelligence aspect historique et philosophique. IESF sept 2020

    -Revue des deux mondes, l’intelligence cellulaire.

    -réenchanter la science Rupert Sheldrake

    science et quête de sens

    https://sciencemysterieuse.com/conscience-metaphysique/les-incroyables-signes-dintelligences-de-la-nature/


    Partagé par http://www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.

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  • Dans les art martiaux, il est dit que: "Notre plus grande force réside dans nos plus grandes faiblesses" J'ai mis longtemps avant de comprendre que cela parlé des émotions.

    Dans cette vidéo de Gregg Braden de plus amples informations sur le pourquoi du comment.

    Gregg Braden que nous avion déjà mentionné ICI.

     

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  • Eric Tolone
    - Le Détachement

    la Libération de l'ego

    Se Réaliser en 10 minutes

    La Sagesse Perenne: ICI de nombreuse autres videos

    C'est aussi pour cela que nous pratiquons le Tai Chi Chuan.

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  • Il y a quelques mois nous avions découvert cela ici

    Aujourd'hui il y a ceci.

    P.S. sa chaine Youtube  ICI sa vaut le détour...

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  • La Règle du Nagual

    Tiré du "Don de l'Aigle" de Carlos Castaneda



    Le pouvoir qui gouverne la destinée de tous les êtres vivants s’appelle l’Aigle, non que ce soit un aigle, ou qu’il soit lié en quelque manière à un aigle, mais parce qu’il apparaît au voyant qui le voit sous l’aspect d’un aigle immense, noir de jais, dressé à la manière d’un aigle, sa hauteur atteignant l’infini.

    Tandis que le voyant contemple le noir qu’est l’Aigle, quatre explosions de lumière permettent au voyant de voir à quoi l’Aigle ressemble. La première explosion, qui est comme un coup de foudre, aide le voyant à distinguer les contours du corps de l’Aigle. Il y a des taches de blancheur qui évoquent les plumes et les serres d’un aigle. Un second coup d’éclair révèle le noir battant, créant du vent qui ressemble à des ailes d’aigle. À la troisième flambée de lumière, le voyant est placé en face d’un œil perçant, inhumain. Et le quatrième et dernier feu dévoile ce que fait l’Aigle.

    L’Aigle dévore la conscience de toutes les créatures qui, vivantes sur Terre l’instant d’avant et désormais mortes, ont flotté jusqu’au bec de l’Aigle, comme un essaim ininterrompu de lucioles, à la rencontre de celui qui les possède et qui est leur raison d’avoir acquis la vie. L’Aigle dénoue ces flammes menues, les met à plat comme un tanneur étend une peau, puis il les consomme — car la conscience est l’aliment de l’Aigle.

    L’Aigle, ce pouvoir qui gouverne les destinées de tous les êtres vivants, est le reflet de toutes les choses vivantes — de la même manière et en même temps. L’homme n’a donc aucun moyen de prier l’Aigle, de lui demander des faveurs, d’espérer miséricorde. La partie humaine de l’Aigle est trop insignifiante pour exercer un effet sur le tout.

    C’est seulement à ses actes qu’un voyant reconnaît ce que désire l’Aigle. L’Aigle, quoique insensible aux conditions de toutes les choses vivantes, a accordé un don à chacun de ces êtres. Chacun d’eux, à sa manière et dans sa mesure, possède s’il le désire le pouvoir de conserver la flamme de la conscience, le pouvoir de désobéir à l’ordre de mourir et d’être consommé. Chaque chose vivante, si elle le désire, a reçu le pouvoir de rechercher une ouverture. Pour le voyant qui voit l’ouverture, ou pour les créatures qui la franchissent, il est évident que l’Aigle a accordé ce don afin de perpétuer la conscience.

    Afin de guider les choses vivantes vers cette ouverture, l’Aigle a créé le Nagual. Le Nagual est un être double à qui la règle a été révélée. Qu’il soit sous la forme d’un humain, d’un animal, d’une plante ou de tout autre vivant, le Nagual est poussé, du fait même de sa dualité, à rechercher ce passage caché.

    Le Nagual vient par couple — mâle et femelle. Un homme double ( et une femme double ) ne deviennent le Nagual qu’après avoir reçu l’un et l’autre l’enseignement de la règle, après l’avoir comprise et acceptée dans son intégralité.

    Aux yeux des voyants, un homme Nagual ou une femme Nagual apparaissent sous l’aspect d’œufs lumineux possédant quatre compartiments. À la différence des personnes normales, qui ont deux côtés, la gauche et la droite, le Nagual a un côté gauche avec deux longues divisions, et un côté droit également divisé en deux.

    L’Aigle a créé le premier homme Nagual et la première femme Nagual en tant que voyants, et il les a aussitôt placés dans le monde pour voir. Il les a pourvus de quatre guerriers femelles — des traqueurs —, de trois guerriers mâles et d’un courrier mâle, qu’ils doivent nourrir, sublimer et conduire à la liberté.

    Les guerriers femelles s’appellent les quatre orients, les quatre coins du carré, les quatre humeurs, les quatre vents, les quatre personnalités féminines différentes qui constituent la race humaine.

    La première est l’est. Elle s’appelle ordre. Elle est optimiste, légère et douce, insistante comme une brise continue.

    La deuxième est le nord. Elle s’appelle force. Elle est fertile en ressources, agressive, directe, tenace comme un vent violent.

    La troisième est l’ouest. Elle s’appelle sentiment. Elle est portée à l’introspection, pleine de remords, rusée, sournoise comme une bouffée de vent glacé.

    La quatrième est le sud. Elle s’appelle croissance. Elle est nourrissante, bruyante, timide, tiède comme un vent chaud.

    Les trois guerriers mâles et le courrier sont représentatifs des quatre types d’activité et de tempérament masculins.

    Le premier type est l’homme de savoir, l’érudit ; c’est un être noble et serein, à qui l’on peut faire confiance ; il se consacre totalement à sa tâche, quelle qu’elle soit.

    Le deuxième type est l’homme d’action, très versatile, compagnon d’humeur capricieuse et changeante.

    Le troisième type est l’organisateur en coulisses, l’homme mystérieux, inconnaissable. On ne peut rien dire de lui parce qu’il ne laisse rien percer de lui-même.

    Le courrier constitue le quatrième type. Il est l’assistant, homme taciturne, sombre qui fait tout très bien s’il est convenablement dirigé, mais qui ne peut rien faire tout seul.

    Pour faciliter les choses, l’Aigle a montré à l’homme Nagual et à la femme Nagual que chacun des quatre types mâles et femelles parmi les hommes et les femmes de la Terre, ont des traits spécifiques dans leurs corps lumineux.

    L’érudit a une sorte de creux, une dépression plus claire dans son plexus solaire. Chez certains hommes de savoir, on dirait une brillance comme un miroir sans reflet.

    L’homme d’action a des fibres émanant de la zone de vouloir. Le nombre de ces fibres varie de un à cinq. Leur taille passe d’un simple fil à un gros tentacule semblable à un fouet, d’un mètre cinquante à deux mètres cinquante de longueur. Certains hommes ont jusqu’à trois de ces fibres développées en tentacules.

    L’homme des coulisses ne se distingue pas par un trait particulier mais par sa faculté de créer, tout à fait spontanément, une explosion de pouvoir qui bloque efficacement l’attention des voyants. En présence d’un homme de ce type, les voyants, au lieu de voir, se trouvent noyés dans des détails hors du sujet.

    L’assistant n’a aucune configuration déterminante. Les voyants le voient comme une lueur claire dans une coquille de luminosité sans défaut.

    Dans le domaine femelle, l’est se distingue à des taches presque imperceptibles dans sa luminosité, semblables à de petites zones de dépigmentation.

    Le nord possède une radiation qui recouvre tout. Le nord femelle répand une lueur rougeâtre, presque comme de la chaleur.

    L’ouest possède une pellicule mince qui l’enveloppe et qui le fait paraître plus sombre que les autres.

    Le sud a un éclat intermittent, il brille pendant un instant puis se ternit et se remet à briller.

    L’homme Nagual et la femme Nagual ont dans leurs corps lumineux deux mouvements différents. Leur côté droit bouge par vagues tandis que leur côté gauche tourbillonne.

    Sur le plan de la personnalité, l’homme Nagual est un appui, il est ferme et constant. La femme Nagual est un être en guerre et pourtant détendu, toujours conscient mais sans tension.

    Ils sont tous deux le reflet des quatre types respectifs d’hommes et de femmes, exprimant quatre manières de se conduire.

    Le premier ordre donné par l’Aigle à l’homme Nagual et à la femme Nagual a été de trouver, tout seuls, un autre groupe de quatre orients : quatre guerriers femelles, répliques exactes des traqueurs mais qui soient des rêveurs.

    Les rêveurs apparaissent au voyant avec une sorte de tablier de fibres semblables à des cheveux, disposées vers le milieu de leur corps. Les traqueurs ont le même trait distinctif en forme de tablier, mais au lieu de fibres, il y a une infinité de petites protubérances rondes.

    Les huit guerriers femelles se divisent en deux clans que l’on appelle planètes, la droite et la gauche. La planète droite se compose des quatre traqueurs. La planète gauche des quatre rêveurs. Les guerriers de chaque planète ont reçu de l’Aigle la règle de leur tâche spécifique. Aux traqueurs il est enseigné l’art de traquer ; aux rêveurs, l’art de rêver.

    Les deux guerriers femelles de chaque orient vivent ensemble. Ils sont si semblables qu’ils semblent le miroir l’un de l’autre ; et c’est seulement par l’impeccabilité qu’ils peuvent trouver, dans leur propre reflet, soulagement et encouragement.

    Les quatre rêveurs ou les quatre traqueurs se réunissent uniquement lorsqu’ils doivent accomplir une tâche épuisante ; mais en aucune circonstance les quatre ne doivent joindre leurs mains, car le contact les fait fondre en un seul être, et cela ne doit être utilisé qu’en cas de nécessité extrême, ou au moment de quitter le monde.

    Les deux guerriers femelles de chaque direction sont reliés à l’un des mâles, dans n’importe quelle combinaison qui s’avère nécessaire. Ils forment ainsi une série de quatre maisonnées, capables d’incorporer autant de guerriers qu’il en est besoin.

    Les guerriers mâles et le courrier peuvent également former une unité indépendante de quatre hommes, mais chacun d’eux peut rester solitaire, selon ce que dicte la nécessité.

    Ensuite, le Nagual et son clan ont reçu l’ordre de trouver un groupe de trois courriers, soit un groupe mâle, soit un groupe femelle, soit un groupe mixte ; il leur a été précisé que les courriers mâles devaient provenir du quatrième type d’homme, l’assistant. Les femelles devaient appartenir au sud.

    Pour être sûr que le premier homme Nagual conduirait son clan à la liberté, ne dévierait pas de sa voie et ne se laisserait pas corrompre, l’Aigle emmena la femme Nagual dans l’autre monde pour lui servir de phare et guider le clan vers l’ouverture.

    Le Nagual et ses guerriers reçurent alors l’ordre d’oublier. Ils furent plongés dans le noir et on leur donna de nouvelles tâches : la tâche de se souvenir d’eux-mêmes, et la tâche de se souvenir de l’Aigle.

    Se souvenir de qui on est


    L’ordre d’oublier était si puissant que tout le monde fut séparé. Personne ne se souvint de qui il était. L’intention de l’Aigle était la suivante : s’ils étaient capables de se souvenir d’eux-mêmes, ils découvriraient la totalité d’eux-mêmes ; alors seulement, ils auraient la force et la patience nécessaires à rechercher et à affronter leur voyage définitif.

    La dernière tâche, après avoir reconquis la totalité d’eux-mêmes, était de trouver un nouveau couple d’êtres doubles et de les transformer en un nouvel homme Nagual et une nouvelle femme Nagual, en leur révélant la règle. Et comme le premier homme Nagual et la première femme Nagual n’en avaient reçu qu’une partie minime, ils devaient fournir au nouveau couple de Naguals, quatre guerriers femelles qui seraient des traqueurs, trois guerriers mâles et un courrier mâle.

    Quand le premier Nagual et son clan furent prêts à franchir le passage, la première femme Nagual les attendait pour les guider. Ils reçurent alors l’ordre d’emmener la nouvelle femme Nagual avec eux dans l’autre monde pour servir de phare à son clan, tandis que le nouvel homme Nagual restait dans le monde pour répéter le cycle.

    Pendant le séjour dans le monde, le nombre minimum sous la responsabilité d’un Nagual est seize : huit guerriers femelles, quatre guerriers mâles (en comptant le Nagual ) et quatre courriers. Au moment de quitter le monde, avec la nouvelle femme Nagual inclue dans le groupe, le nombre du Nagual est dix-sept. Si son pouvoir personnel lui permet d’avoir davantage de guerriers, il doit les ajouter, mais toujours par multiples de quatre.

    P.S. par JJ

    Comme tout est comprit dans la règle, la règle peut changer afin de coller aux modalité de l'époque.
    Ainsi aujourd'hui les deux mondes se chevauche, ce qui est lourd de conséquence. A nous d'observer les signes de l'esprit et de les suivre.

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  • Message de White Eagle, de la nation Hopi

    «Ce que l'humanité traverse en ce moment peut être considéré comme un portail et un trou noir. La décision de tomber dans le trou noir ou de passer par le portail dépend de vous.

    S'ils se repentent du problème et consomment les informations 24 heures sur 24, avec peu d'énergie, nerveux tout le temps, avec pessimisme, ils tomberont dans le trou.

    Mais si vous saisissez cette occasion pour vous regarder, repenser la vie et la mort, prendre soin de vous et des autres, vous traverserez le portail.

    Prenez soin de votre maison, prenez soin de votre corps. Connectez-vous avec le corps central de votre maison spirituelle. Connectez-vous à l’égrégore de votre foyer spirituel. Corps, maison, corps moyen, maison spirituelle, tout cela est synonyme, c'est-à-dire la même chose. Lorsque vous en prenez soin, vous vous occupez de tout le reste.

    Ne perdez pas la dimension spirituelle de cette crise, ayez l'aspect de l'aigle, qui d'en haut, voit le tout, voit plus largement. Il y a une demande sociale dans cette crise, mais il y a aussi une demande spirituelle. Les deux vont de pair.

    Sans la dimension sociale, nous tombons dans le fanatisme. Mais sans la dimension spirituelle, nous tombons dans le pessimisme et le manque de sens.

    image

    Vous étiez prêt à traverser cette crise. Prenez votre boîte à outils et utilisez tous les outils à votre disposition.

    Apprenez-en davantage sur la résistance des peuples autochtones et africains: nous avons toujours été et continuons d'être exterminés. Mais nous n'avons toujours pas cessé de chanter, de danser, d'allumer un feu et de nous amuser.

    Ne vous sentez pas coupable d'être heureux pendant cette période difficile. Vous n'aidez pas du tout en étant triste et sans énergie. Cela aide si de bonnes choses émanent de l'Univers maintenant.

    C'est par la joie que l'on résiste.

    De plus, lorsque la tempête passera, vous serez très important dans la reconstruction de ce nouveau monde. Vous devez être bien et fort. Et, pour cela, il n'y a pas d'autre moyen que de maintenir une vibration belle, heureuse et lumineuse.

    Cela n'a rien à voir avec l'aliénation. Il s'agit d'une stratégie de résistance.

    Dans le chamanisme, il existe un rite de passage appelé la quête de la vision. Vous passez quelques jours seul dans la forêt, sans eau, sans nourriture, sans protection. Lorsque vous passez par ce portail, vous obtenez une nouvelle vision du monde, car vous avez affronté vos peurs, vos difficultés…

    C'est ce qu'on vous demande.

    Laissez-les profiter de ce temps pour effectuer leurs rituels de recherche de vision. Quel monde voulez-vous vous construire?

    Pour l'instant, voici ce que vous pouvez faire : la sérénité dans la tempête.

    Calmez-vous et priez. Tous les jours.

    Établissez une routine pour rencontrer le sacré tous les jours. De bonnes choses émanent, ce que vous émanez maintenant est la chose la plus importante.

    Et chantez, dansez, résistez par l'art, la joie, la foi et l'amour. »

     

     

    Remarque à propos de la nation Hopi : La tribu Hopi est une nation souveraine du nord-est de l'Arizona et occupe une partie des comtés de Coconino et Navajo. Elle englobe plus de 1,5 million d'acres et est composée de 12 villages répartis sur trois mesas. Ils vivent dans des maisons en pisé, appelées aussi « pueblo houses »

     

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